Winter break pour la France ou The Holdovers, Ceux qui restent, pour la version américaine, est une production hollywoodienne d’Alexander Payne récompensée par l’oscar du meilleur second rôle féminin attribué à Da’Vine Joy Randolph, en mars 2024. Retour sur une pépite du cinéma d’Outre-Atlantique

Crying :

Un vieux professeur bourru et misanthrope, Paul Giamatti, est prié de rester surveiller le lycée où il enseigne pendant les vacances de fin d’année. Il va devoir passer Noël avec un de ses élèves très doué mais totalement insubordonné, Dominic Sessa, et la cuisinière de l’établissement, Da’Vine Joy Randolph, meurtrie par la mort de son fils au Vietnam.

Laughing :

Cette comédie dramatique nous entraîne donc dans un établissement scolaire américain du début des années 70. On y croise une galerie de personnages qui vont apprendre à se connaître, à se découvrir. Ce chassé-croisé d’histoires personnelles entremêlé de rires et de larmes apporte à l’ensemble une touche douce et amère, sans jamais tomber dans le mélodrame.

Loving :

Tout le son et l’image ainsi que la ressemblance avec Merlusse, film de Marcel Pagnol.

Lying :

Non sans mentir et pour conclure, Winter break m’a beaucoup plu pour diverses raisons, l’histoire, la qualité de l’image qui donne l’impression que le film est une production des années 70, l’atmosphère, les personnages attachants sans oublier la bande originale et plus particulièrement la chanson Crying, Laughing, Loving, Lying qui colle parfaitement à l’ensemble.

>> Vous pouvez emprunter le film auprès de la médiathèque de Bercy.

 

 

 

Mise à jour : 28 novembre 2024